*
D’une main tremblante, il dégrafa son soutien-gorge. Le bout de ses seins se dressa à son contact.*
–*S’il te plaît, viens, le pria-t–elle d’une voix pantelante, en enfonçant les doigts dans ses cheveux pour guider sa bouche sur sa poitrine.*
Encouragé, il pressa entre ses dents la chair délicate de son mamelon en même temps qu’il plongeait une main dans son jean. Elle se cambra contre le matelas, pour mieux s’ouvrir aux caresses de ses doigts savants.*
Impatient de la voir dans toute sa splendeur, il déboutonna son pantalon. Elle souleva les hanches et repoussa le jean et la petite culotte en dentelle qui couvrait sa toison cuivrée.*
La beauté de son corps nu l’éblouit une fois encore comme une promesse de bonheur éternellement recommencée.*
Un paradoxe que seule Lara rendait possible.*
Il voulait la faire sienne et la combler de plaisir jusqu’à ce qu’elle oublie tous ses doutes.*
Il allait la faire sienne et la combler de plaisir jusqu’à ce qu’elle comprenne qu’ils s’appartenaient, non pas seulement ici et maintenant, le temps d’un week-end, mais pour le restant de leur vie.*
Il glissa sa main entre ses cuisses et fureta entre ses plis humides, l’embrassant passionnément.*
Le souffle saccadé, elle ondulait des hanches et il devina qu’elle était sur le point de jouir.*
–*Non, mon ange, pas comme ça, murmura-t–il contre sa bouche. Je veux être en toi.*
–*Oh*! oui… Viens…*
Il se releva pour se déshabiller et se déchaussa d’un coup de pied impérieux. Elle se releva à moitié et tenta de l’aider de ses mains tremblantes. Ses gestes gauches l’émouvaient et l’excitaient à la fois.*
Il avait passé tant d’années en colère.*
Tant d’années seul.*
Tant d’années vides.*
Et cette preuve du désir qu’elle éprouvait suffisait à lui faire oublier ses souffrances passées.*
Il était temps de pardonner.*
C´était lui qui n’avait pas été à la hauteur. Lui qui aurait dû la défendre et affronter son père. Il aurait dû dire à Brent Withfield à quel point il aimait sa fille et tenir bon jusqu’à ce que cet homme comprenne que rien ni personne ne pourrait les séparer. Mais il avait laissé l’orgueil l’aveugler et, comme un imbécile, il avait failli perdre la seule belle chose qui lui était arrivée dans la vie.*
Lara.*
Sa douce et adorable Lara.*
A genoux sur le lit, elle referma sa main autour de son sexe en érection et commença à le caresser.*
–*Lara… Si tu fais ça, je ne tiendrai pas longtemps.*
–*Alors viens, lui répondit-elle, en s’allongeant langoureusement.*
Ses longs cheveux pour seule parure, les yeux entrouverts, un sourire aguichant aux lèvres, elle était l’incarnation de la tentation.*
Il chercha à la hâte un préservatif dans son portefeuille et en déchira l’emballage avec les dents avant de le mettre en place prestement.*
Oublieuse de toute pudeur, elle l’attira à côté d’elle et lui passa une jambe autour de la taille pour lui offrir un meilleur accès à son corps.*
Le souffle court, il glissa une main entre ses cuisses et introduisit un doigt, puis un autre dans son sexe. Lara gémissait entre ses bras, les yeux fermés, les joues en feu.*
Qu’il adorait contempler son visage ravagé par le plaisir*!*
La voir s’abandonner ainsi à la volupté, dans ses bras, lui produisait une telle excitation qu’il dut faire appel à toute sa volonté pour ne pas éjaculer sur-le-champ.*
–*Oh*! c’est… Je vais jouir, Graeme, gémit-elle. Viens, vite. Je te veux en moi.*
D’un mouvement coulé, il s’allongea sur elle, son sexe à l’orée du sien, sans pour autant la pénétrer. Il voulait prolonger cet état d’anticipation qui était aussi grisant que l’extase.*
Mais elle, les mains agrippées à ses hanches, l’attirait contre elle, impatiente.*
Il entra enfin en elle, lentement, sans cesser un instant de la regarder. Le corps en tension, elle se cambra pour l’accueillir encore plus profondément, mais il s’y refusa.*
C’était la plus exquise des tortures que d’avancer lentement en elle, en sentant la chair tendre de son sexe se resserrer autour de lui.*
La sensation en était si intense, si affolante…*
–*Oh, Graeme*! cria-t–elle. Viens, s’il te plaît, maintenant*!*
Sa vibrante supplique eut raison de sa retenue et il entra en elle d’un long coup de reins, commença ses va-et-vient, en s’interrompant seulement pour faire passer ses jambes soyeuses par-dessus ses épaules.*
Lara se donnait à lui, sans restrictions, sans conditions. Tout entière.*
Cette idée renforça son ardeur et il la pénétra encore une fois. Elle ouvrait grand les yeux, comme surprise par le plaisir qu’elle recevait*
D’une main tremblante, il dégrafa son soutien-gorge. Le bout de ses seins se dressa à son contact.*
–*S’il te plaît, viens, le pria-t–elle d’une voix pantelante, en enfonçant les doigts dans ses cheveux pour guider sa bouche sur sa poitrine.*
Encouragé, il pressa entre ses dents la chair délicate de son mamelon en même temps qu’il plongeait une main dans son jean. Elle se cambra contre le matelas, pour mieux s’ouvrir aux caresses de ses doigts savants.*
Impatient de la voir dans toute sa splendeur, il déboutonna son pantalon. Elle souleva les hanches et repoussa le jean et la petite culotte en dentelle qui couvrait sa toison cuivrée.*
La beauté de son corps nu l’éblouit une fois encore comme une promesse de bonheur éternellement recommencée.*
Un paradoxe que seule Lara rendait possible.*
Il voulait la faire sienne et la combler de plaisir jusqu’à ce qu’elle oublie tous ses doutes.*
Il allait la faire sienne et la combler de plaisir jusqu’à ce qu’elle comprenne qu’ils s’appartenaient, non pas seulement ici et maintenant, le temps d’un week-end, mais pour le restant de leur vie.*
Il glissa sa main entre ses cuisses et fureta entre ses plis humides, l’embrassant passionnément.*
Le souffle saccadé, elle ondulait des hanches et il devina qu’elle était sur le point de jouir.*
–*Non, mon ange, pas comme ça, murmura-t–il contre sa bouche. Je veux être en toi.*
–*Oh*! oui… Viens…*
Il se releva pour se déshabiller et se déchaussa d’un coup de pied impérieux. Elle se releva à moitié et tenta de l’aider de ses mains tremblantes. Ses gestes gauches l’émouvaient et l’excitaient à la fois.*
Il avait passé tant d’années en colère.*
Tant d’années seul.*
Tant d’années vides.*
Et cette preuve du désir qu’elle éprouvait suffisait à lui faire oublier ses souffrances passées.*
Il était temps de pardonner.*
C´était lui qui n’avait pas été à la hauteur. Lui qui aurait dû la défendre et affronter son père. Il aurait dû dire à Brent Withfield à quel point il aimait sa fille et tenir bon jusqu’à ce que cet homme comprenne que rien ni personne ne pourrait les séparer. Mais il avait laissé l’orgueil l’aveugler et, comme un imbécile, il avait failli perdre la seule belle chose qui lui était arrivée dans la vie.*
Lara.*
Sa douce et adorable Lara.*
A genoux sur le lit, elle referma sa main autour de son sexe en érection et commença à le caresser.*
–*Lara… Si tu fais ça, je ne tiendrai pas longtemps.*
–*Alors viens, lui répondit-elle, en s’allongeant langoureusement.*
Ses longs cheveux pour seule parure, les yeux entrouverts, un sourire aguichant aux lèvres, elle était l’incarnation de la tentation.*
Il chercha à la hâte un préservatif dans son portefeuille et en déchira l’emballage avec les dents avant de le mettre en place prestement.*
Oublieuse de toute pudeur, elle l’attira à côté d’elle et lui passa une jambe autour de la taille pour lui offrir un meilleur accès à son corps.*
Le souffle court, il glissa une main entre ses cuisses et introduisit un doigt, puis un autre dans son sexe. Lara gémissait entre ses bras, les yeux fermés, les joues en feu.*
Qu’il adorait contempler son visage ravagé par le plaisir*!*
La voir s’abandonner ainsi à la volupté, dans ses bras, lui produisait une telle excitation qu’il dut faire appel à toute sa volonté pour ne pas éjaculer sur-le-champ.*
–*Oh*! c’est… Je vais jouir, Graeme, gémit-elle. Viens, vite. Je te veux en moi.*
D’un mouvement coulé, il s’allongea sur elle, son sexe à l’orée du sien, sans pour autant la pénétrer. Il voulait prolonger cet état d’anticipation qui était aussi grisant que l’extase.*
Mais elle, les mains agrippées à ses hanches, l’attirait contre elle, impatiente.*
Il entra enfin en elle, lentement, sans cesser un instant de la regarder. Le corps en tension, elle se cambra pour l’accueillir encore plus profondément, mais il s’y refusa.*
C’était la plus exquise des tortures que d’avancer lentement en elle, en sentant la chair tendre de son sexe se resserrer autour de lui.*
La sensation en était si intense, si affolante…*
–*Oh, Graeme*! cria-t–elle. Viens, s’il te plaît, maintenant*!*
Sa vibrante supplique eut raison de sa retenue et il entra en elle d’un long coup de reins, commença ses va-et-vient, en s’interrompant seulement pour faire passer ses jambes soyeuses par-dessus ses épaules.*
Lara se donnait à lui, sans restrictions, sans conditions. Tout entière.*
Cette idée renforça son ardeur et il la pénétra encore une fois. Elle ouvrait grand les yeux, comme surprise par le plaisir qu’elle recevait.*
Touché, il libéra une de ses mains pour