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ÞÏíã 11-12-10, 02:15 PM   ÇáãÔÇÑßÉ ÑÞã: 96
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ÇáÊÓÌíá: May 2010
ÇáÚÖæíÉ: 166011
ÇáãÔÇÑßÇÊ: 145
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*
D’une main tremblante, il dégrafa son soutien-gorge. Le bout de ses seins se dressa à son contact.*
–*S’il te plaît, viens, le pria-t–elle d’une voix pantelante, en enfonçant les doigts dans ses cheveux pour guider sa bouche sur sa poitrine.*
Encouragé, il pressa entre ses dents la chair délicate de son mamelon en même temps qu’il plongeait une main dans son jean. Elle se cambra contre le matelas, pour mieux s’ouvrir aux caresses de ses doigts savants.*
Impatient de la voir dans toute sa splendeur, il déboutonna son pantalon. Elle souleva les hanches et repoussa le jean et la petite culotte en dentelle qui couvrait sa toison cuivrée.*
La beauté de son corps nu l’éblouit une fois encore comme une promesse de bonheur éternellement recommencée.*
Un paradoxe que seule Lara rendait possible.*
Il voulait la faire sienne et la combler de plaisir jusqu’à ce qu’elle oublie tous ses doutes.*
Il allait la faire sienne et la combler de plaisir jusqu’à ce qu’elle comprenne qu’ils s’appartenaient, non pas seulement ici et maintenant, le temps d’un week-end, mais pour le restant de leur vie.*
Il glissa sa main entre ses cuisses et fureta entre ses plis humides, l’embrassant passionnément.*
Le souffle saccadé, elle ondulait des hanches et il devina qu’elle était sur le point de jouir.*
–*Non, mon ange, pas comme ça, murmura-t–il contre sa bouche. Je veux être en toi.*
–*Oh*! oui… Viens…*
Il se releva pour se déshabiller et se déchaussa d’un coup de pied impérieux. Elle se releva à moitié et tenta de l’aider de ses mains tremblantes. Ses gestes gauches l’émouvaient et l’excitaient à la fois.*
D’une main tremblante, il dégrafa son soutien-gorge. Le bout de ses seins se dressa à son contact.*
–*S’il te plaît, viens, le pria-t–elle d’une voix pantelante, en enfonçant les doigts dans ses cheveux pour guider sa bouche sur sa poitrine.*
Encouragé, il pressa entre ses dents la chair délicate de son mamelon en même temps qu’il plongeait une main dans son jean. Elle se cambra contre le matelas, pour mieux s’ouvrir aux caresses de ses doigts savants.*
Impatient de la voir dans toute sa splendeur, il déboutonna son pantalon. Elle souleva les hanches et repoussa le jean et la petite culotte en dentelle qui couvrait sa toison cuivrée.*
La beauté de son corps nu l’éblouit une fois encore comme une promesse de bonheur éternellement recommencée.*
Un paradoxe que seule Lara rendait possible.*
Il voulait la faire sienne et la combler de plaisir jusqu’à ce qu’elle oublie tous ses doutes.*
Il allait la faire sienne et la combler de plaisir jusqu’à ce qu’elle comprenne qu’ils s’appartenaient, non pas seulement ici et maintenant, le temps d’un week-end, mais pour le restant de leur vie.*
Il glissa sa main entre ses cuisses et fureta entre ses plis humides, l’embrassant passionnément.*
Le souffle saccadé, elle ondulait des hanches et il devina qu’elle était sur le point de jouir.*
–*Non, mon ange, pas comme ça, murmura-t–il contre sa bouche. Je veux être en toi.*
–*Oh*! oui… Viens…*
Il se releva pour se déshabiller et se déchaussa d’un coup de pied impérieux. Elle se releva à moitié et tenta de l’aider de ses mains tremblantes. Ses gestes gauches l’émouvaient et l’excitaient à la fois.*
Il avait passé tant d’années en colère.*
Tant d’années seul.*
Tant d’années vides.*
Et cette preuve du désir qu’elle éprouvait suffisait à lui faire oublier ses souffrances passées.*
Il était temps de pardonner.*
C´était lui qui n’avait pas été à la hauteur. Lui qui aurait dû la défendre et affronter son père. Il aurait dû dire à Brent Withfield à quel point il aimait sa fille et tenir bon jusqu’à ce que cet homme comprenne que rien ni personne ne pourrait les séparer. Mais il avait laissé l’orgueil l’aveugler et, comme un imbécile, il avait failli perdre la seule belle chose qui lui était arrivée dans la vie.*
Lara.*
Sa douce et adorable Lara.*
A genoux sur le lit, elle referma sa main autour de son sexe en érection et commença à le caresser.*
–*Lara… Si tu fais ça, je ne tiendrai pas longtemps.*
–*Alors viens, lui répondit-elle, en s’allongeant langoureusement.*
Ses longs cheveux pour seule parure, les yeux entrouverts, un sourire aguichant aux lèvres, elle était l’incarnation de la tentation.*
Il chercha à la hâte un préservatif dans son portefeuille et en déchira l’emballage avec les dents avant de le mettre en place prestement.*
Oublieuse de toute pudeur, elle l’attira à côté d’elle et lui passa une jambe autour de la taille pour lui offrir un meilleur accès à son corps.*

 
 

 

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*
D’une main tremblante, il dégrafa son soutien-gorge. Le bout de ses seins se dressa à son contact.*
–*S’il te plaît, viens, le pria-t–elle d’une voix pantelante, en enfonçant les doigts dans ses cheveux pour guider sa bouche sur sa poitrine.*
Encouragé, il pressa entre ses dents la chair délicate de son mamelon en même temps qu’il plongeait une main dans son jean. Elle se cambra contre le matelas, pour mieux s’ouvrir aux caresses de ses doigts savants.*
Impatient de la voir dans toute sa splendeur, il déboutonna son pantalon. Elle souleva les hanches et repoussa le jean et la petite culotte en dentelle qui couvrait sa toison cuivrée.*
La beauté de son corps nu l’éblouit une fois encore comme une promesse de bonheur éternellement recommencée.*
Un paradoxe que seule Lara rendait possible.*
Il voulait la faire sienne et la combler de plaisir jusqu’à ce qu’elle oublie tous ses doutes.*
Il allait la faire sienne et la combler de plaisir jusqu’à ce qu’elle comprenne qu’ils s’appartenaient, non pas seulement ici et maintenant, le temps d’un week-end, mais pour le restant de leur vie.*
Il glissa sa main entre ses cuisses et fureta entre ses plis humides, l’embrassant passionnément.*
Le souffle saccadé, elle ondulait des hanches et il devina qu’elle était sur le point de jouir.*
–*Non, mon ange, pas comme ça, murmura-t–il contre sa bouche. Je veux être en toi.*
–*Oh*! oui… Viens…*
Il se releva pour se déshabiller et se déchaussa d’un coup de pied impérieux. Elle se releva à moitié et tenta de l’aider de ses mains tremblantes. Ses gestes gauches l’émouvaient et l’excitaient à la fois.*
Il avait passé tant d’années en colère.*
Tant d’années seul.*
Tant d’années vides.*
Et cette preuve du désir qu’elle éprouvait suffisait à lui faire oublier ses souffrances passées.*
Il était temps de pardonner.*
C´était lui qui n’avait pas été à la hauteur. Lui qui aurait dû la défendre et affronter son père. Il aurait dû dire à Brent Withfield à quel point il aimait sa fille et tenir bon jusqu’à ce que cet homme comprenne que rien ni personne ne pourrait les séparer. Mais il avait laissé l’orgueil l’aveugler et, comme un imbécile, il avait failli perdre la seule belle chose qui lui était arrivée dans la vie.*
Lara.*
Sa douce et adorable Lara.*
A genoux sur le lit, elle referma sa main autour de son sexe en érection et commença à le caresser.*
–*Lara… Si tu fais ça, je ne tiendrai pas longtemps.*
–*Alors viens, lui répondit-elle, en s’allongeant langoureusement.*
Ses longs cheveux pour seule parure, les yeux entrouverts, un sourire aguichant aux lèvres, elle était l’incarnation de la tentation.*
Il chercha à la hâte un préservatif dans son portefeuille et en déchira l’emballage avec les dents avant de le mettre en place prestement.*
Oublieuse de toute pudeur, elle l’attira à côté d’elle et lui passa une jambe autour de la taille pour lui offrir un meilleur accès à son corps.*
Le souffle court, il glissa une main entre ses cuisses et introduisit un doigt, puis un autre dans son sexe. Lara gémissait entre ses bras, les yeux fermés, les joues en feu.*
Qu’il adorait contempler son visage ravagé par le plaisir*!*
La voir s’abandonner ainsi à la volupté, dans ses bras, lui produisait une telle excitation qu’il dut faire appel à toute sa volonté pour ne pas éjaculer sur-le-champ.*
–*Oh*! c’est… Je vais jouir, Graeme, gémit-elle. Viens, vite. Je te veux en moi.*
D’un mouvement coulé, il s’allongea sur elle, son sexe à l’orée du sien, sans pour autant la pénétrer. Il voulait prolonger cet état d’anticipation qui était aussi grisant que l’extase.*
Mais elle, les mains agrippées à ses hanches, l’attirait contre elle, impatiente.*
Il entra enfin en elle, lentement, sans cesser un instant de la regarder. Le corps en tension, elle se cambra pour l’accueillir encore plus profondément, mais il s’y refusa.*
C’était la plus exquise des tortures que d’avancer lentement en elle, en sentant la chair tendre de son sexe se resserrer autour de lui.*
La sensation en était si intense, si affolante…*
–*Oh, Graeme*! cria-t–elle. Viens, s’il te plaît, maintenant*!*
Sa vibrante supplique eut raison de sa retenue et il entra en elle d’un long coup de reins, commença ses va-et-vient, en s’interrompant seulement pour faire passer ses jambes soyeuses par-dessus ses épaules.*
Lara se donnait à lui, sans restrictions, sans conditions. Tout entière.*
Cette idée renforça son ardeur et il la pénétra encore une fois. Elle ouvrait grand les yeux, comme surprise par le plaisir qu’elle recevait*
D’une main tremblante, il dégrafa son soutien-gorge. Le bout de ses seins se dressa à son contact.*
–*S’il te plaît, viens, le pria-t–elle d’une voix pantelante, en enfonçant les doigts dans ses cheveux pour guider sa bouche sur sa poitrine.*
Encouragé, il pressa entre ses dents la chair délicate de son mamelon en même temps qu’il plongeait une main dans son jean. Elle se cambra contre le matelas, pour mieux s’ouvrir aux caresses de ses doigts savants.*
Impatient de la voir dans toute sa splendeur, il déboutonna son pantalon. Elle souleva les hanches et repoussa le jean et la petite culotte en dentelle qui couvrait sa toison cuivrée.*
La beauté de son corps nu l’éblouit une fois encore comme une promesse de bonheur éternellement recommencée.*
Un paradoxe que seule Lara rendait possible.*
Il voulait la faire sienne et la combler de plaisir jusqu’à ce qu’elle oublie tous ses doutes.*
Il allait la faire sienne et la combler de plaisir jusqu’à ce qu’elle comprenne qu’ils s’appartenaient, non pas seulement ici et maintenant, le temps d’un week-end, mais pour le restant de leur vie.*
Il glissa sa main entre ses cuisses et fureta entre ses plis humides, l’embrassant passionnément.*
Le souffle saccadé, elle ondulait des hanches et il devina qu’elle était sur le point de jouir.*
–*Non, mon ange, pas comme ça, murmura-t–il contre sa bouche. Je veux être en toi.*
–*Oh*! oui… Viens…*
Il se releva pour se déshabiller et se déchaussa d’un coup de pied impérieux. Elle se releva à moitié et tenta de l’aider de ses mains tremblantes. Ses gestes gauches l’émouvaient et l’excitaient à la fois.*
Il avait passé tant d’années en colère.*
Tant d’années seul.*
Tant d’années vides.*
Et cette preuve du désir qu’elle éprouvait suffisait à lui faire oublier ses souffrances passées.*
Il était temps de pardonner.*
C´était lui qui n’avait pas été à la hauteur. Lui qui aurait dû la défendre et affronter son père. Il aurait dû dire à Brent Withfield à quel point il aimait sa fille et tenir bon jusqu’à ce que cet homme comprenne que rien ni personne ne pourrait les séparer. Mais il avait laissé l’orgueil l’aveugler et, comme un imbécile, il avait failli perdre la seule belle chose qui lui était arrivée dans la vie.*
Lara.*
Sa douce et adorable Lara.*
A genoux sur le lit, elle referma sa main autour de son sexe en érection et commença à le caresser.*
–*Lara… Si tu fais ça, je ne tiendrai pas longtemps.*
–*Alors viens, lui répondit-elle, en s’allongeant langoureusement.*
Ses longs cheveux pour seule parure, les yeux entrouverts, un sourire aguichant aux lèvres, elle était l’incarnation de la tentation.*
Il chercha à la hâte un préservatif dans son portefeuille et en déchira l’emballage avec les dents avant de le mettre en place prestement.*
Oublieuse de toute pudeur, elle l’attira à côté d’elle et lui passa une jambe autour de la taille pour lui offrir un meilleur accès à son corps.*
Le souffle court, il glissa une main entre ses cuisses et introduisit un doigt, puis un autre dans son sexe. Lara gémissait entre ses bras, les yeux fermés, les joues en feu.*
Qu’il adorait contempler son visage ravagé par le plaisir*!*
La voir s’abandonner ainsi à la volupté, dans ses bras, lui produisait une telle excitation qu’il dut faire appel à toute sa volonté pour ne pas éjaculer sur-le-champ.*
–*Oh*! c’est… Je vais jouir, Graeme, gémit-elle. Viens, vite. Je te veux en moi.*
D’un mouvement coulé, il s’allongea sur elle, son sexe à l’orée du sien, sans pour autant la pénétrer. Il voulait prolonger cet état d’anticipation qui était aussi grisant que l’extase.*
Mais elle, les mains agrippées à ses hanches, l’attirait contre elle, impatiente.*
Il entra enfin en elle, lentement, sans cesser un instant de la regarder. Le corps en tension, elle se cambra pour l’accueillir encore plus profondément, mais il s’y refusa.*
C’était la plus exquise des tortures que d’avancer lentement en elle, en sentant la chair tendre de son sexe se resserrer autour de lui.*
La sensation en était si intense, si affolante…*
–*Oh, Graeme*! cria-t–elle. Viens, s’il te plaît, maintenant*!*
Sa vibrante supplique eut raison de sa retenue et il entra en elle d’un long coup de reins, commença ses va-et-vient, en s’interrompant seulement pour faire passer ses jambes soyeuses par-dessus ses épaules.*
Lara se donnait à lui, sans restrictions, sans conditions. Tout entière.*
Cette idée renforça son ardeur et il la pénétra encore une fois. Elle ouvrait grand les yeux, comme surprise par le plaisir qu’elle recevait.*
Touché, il libéra une de ses mains pour

 
 

 

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–*Est-ce que tu sais combien de fois j’ai repensé à cette chambre*? Et à notre nuit de noces*? La voix de Graeme la traversa comme une caresse et elle se laissa aller contre lui avec un petit soupir de satisfaction, caressant l’îlot de son genou avec un gant de toilette. Il avait insisté pour qu’ils prennent un bain ensemble et, malgré ses réticences, il avait fini par lui prouver qu’ils tenaient encore tous les deux dans la minuscule baignoire.*
Après une nuit de sommeil réparateur, Lara s’était réveillée dans ses bras, heureuse et reposée. Comme cinq ans plus tôt, Graeme avait commandé le petit déjeuner au service d’étage, et, comme cinq ans plus tôt, ils l’avaient pris devant la cheminée, où il avait allumé un feu, avant qu’ils ne retournent au lit, remplis d’une énergie nouvelle.*
La jeune femme rougit en songeant à tout ce qu’ils avaient fait ensemble, au beau milieu de la matinée, et sans s’inquiéter de la femme de chambre qui passait l’aspirateur devant la porte de leur chambre à ce moment-là. En dépit de ses efforts, elle n’avait pas réussi à étouffer ses cris et, à la fin, même Graeme s´était laissé aller.*
La journée était passée en un éclair, et ce n’était qu’en voyant le soleil disparaître de nouveau qu’ils s’étaient décidés à prendre un bain avant de descendre dans le salon pour le dîner.*
–*Je parie que tu n’as pas souvent regretté cette baignoire minuscule, dit-elle, en se redressant brusquement.*
Il lâcha un cri.*
–*Aïe*! Fais attention, ou je risque de ne pas pouvoir te donner d’enfants*!*
Elle joua un moment avec la mousse du bain, prise au dépourvu par cette allusion directe à un éventuel avenir commun.*
–*Tu voudrais des enfants*? lui demanda-t–elle finalement, en essayant de garder un ton neutre.–*Et toi*?*
–*Il me semble que c’est moi qui t’ai interrogé en premier.*
–*Il est possible que la question ne se pose même plus…*
Elle comprenait à quoi il faisait allusion. Le risque de grossesse était très mince en réalité, eu égard au moment de son cycle menstruel, mais, rien qu’en s’imaginant enceinte de lui, son cœur se serrait.*
Elle se tourna pour le regarder.*
–*Je ne ferai jamais ça, protesta-t–elle. Je ne pourrais jamais te piéger pour que tu m’épouses.*
Il lui décocha un sourire hilare.*
–*Bon, d’accord… Tu m’as déjà épousée*!*
Il l’entoura de ses bras puissants.*
–*Ne t’en fais pas, mon ange. J’ai eu cinq ans pour m’y habituer et figure-toi que j’aime ça et de plus en plus*!*
–*Qu’est-ce que tu veux dire*?*
–*Que c’est encore mieux que dans mes souvenirs.*
Elle hocha la tête. C’était aussi ce qu’elle ressentait.*
Les tensions du voyage et de leur arrivée mises à part, leur séjour en Ecosse ressemblait en vérité à une seconde lune de miel. Ils avaient passé le plus clair de leur temps à faire l’amour et elle avait des courbatures aux endroits les plus insoupçonnés de son corps, mais elle ne comptait pas s’en plaindre. Elle voulait savourer chaque moment de ce week-end jusqu’à la dernière miette et apprendre que Graeme partageait le même état d’esprit qu’elle l’emplissait de fierté et de joie.*

 
 

 

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*Je suis entièrement d’accord avec toi, murmura-t–elle, en déposant un baiser sur son épaule avant de commencer à se relever.*
Tout à coup, elle sentit son sexe se durcir contre sa hanche.*
–*Encore*? Tu es incroyable*! Comment est-ce que tu fais*? s’étonna-t–elle.*
–*Je ne fais rien, mon ange, dit-il, prenant un air innocent. C’est l’effet que toi tu me fais.*
Il l’aida à se retourner et à venir se placer à califourchon sur lui. L’eau savonneuse rendait leurs corps glissants et chaque mouvement décuplait leurs sensations. Avec un long frisson, elle plongea la main dans l’eau pour saisir son sexe. Sentir entre ses doigts la puissance de son membre viril était pour elle un plaisir toujours renouvelé.*
Tout en poussant un soupir de satisfaction, Graeme laissa aller sa tête contre le bord de la baignoire et elle contempla, admirative, le jeu des muscles de ses épaules sous sa peau luisante. La flamme du désir incendia alors les yeux de Graeme avec une telle force qu’elle crut un instant en ressentir la chaleur sur sa peau.*
Il la caressa entre les jambes, la prenant au dépourvu, et elle lâcha un petit cri de surprise qui devint aussitôt un gémissement éperdu. La sensation était presque intenable et la façon dont il jouait de ses doigts était décidément diabolique. Il pressa son clitoris avec une délicatesse exquise jusqu’à ce que, mue par une envie irrépressible, elle se pousse en avant pour se frotter contre son torse.*
Infatigable, il mordilla le lobe de son oreille et elle frémit, à l’agonie.*
–*Graeme, protesta-t–elle avec un filet de voix, tu es un très vilain garçon.*
–*Très, très vilain, c’est vrai, convint-il dans un murmure–*Et je ne peux pas résister. Je ne peux plus penser à rien d’autre qu’à te toucher et à goûter la saveur de ta peau…*
Elle caressa sous l’eau le bout turgescent de son sexe et obtint en récompense un gémissement plaintif.*
–*Je n’aurai jamais assez de toi, continua-t–elle.*
Il avait le visage enfoui dans son cou, mais elle sentit ses lèvres se retrousser en un sourire. Il glissa un doigt dans son sexe et elle frémit.*
–*Ta peau est si douce et si chaude, murmura-t–il, sans cesser de bouger sa main.*
Une explosion de sensations nouvelles éclata dans son ventre et elle cria sans aucune retenue.*
–*Ah*! C’est donc là ton point G, se réjouit-il. J’ai l’intention de découvrir tous tes points sensibles avant la fin du week-end, je te préviens*!*
Sans trop savoir comment, elle se redressa.*
Elle le voulait en elle et elle le voulait tout de suite.*
Il l’aida à se hisser sur lui, enrobant ses fesses de ses grandes mains. Elle glissa doucement sur son sexe avec un gémissement prolongé.*
–*Oh*! oui, c’est ça… souffla-t–il contre son oreille. C’est si merveilleux… Tu me rends fou, mon ange, mais il faut faire attention.*
Une main fermement ancrée à ses hanches, il s’étira pour attraper les préservatifs qu’elle avait posés sur le bord de la baignoire. Dans son élan, il faillit tomber et l’entraîner avec lui, mais il se maîtrisa à temps et revint à sa position dans un joyeux raz-de-marée, un ballet de vagues moussues qui éclaboussèrent le carrelage et les murs.*

 
 

 

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ÞÏíã 11-12-10, 02:23 PM   ÇáãÔÇÑßÉ ÑÞã: 100
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*Mission accomplie*! déclara-t–il avec un sourire satisfait, tout en l’aidant à retrouver son équilibre.*
–*Ça marche aussi sous l’eau*? demanda-t–elle d’un air dubitatif.*
–*Bien sûr, c’est tout-terrain. Je vais juste te demander de te relever un petit peu…*
Elle obtempéra et le regarda s’arc-bouter pour faire émerger son membre de l’eau. Encadré par les bords émaillés de la baignoire, son corps semblait encore plus grand et plus puissant qu’au-dehors, et elle s’émerveilla encore une fois d’être celle qui le mettait dans un tel état d’excitation, qui ne cessait d’éveiller en lui ce désir insatiable.*
Elle l’aida à dérouler le préservatif d’une main tremblante.*
Il l’attira contre lui et l’embrassa avec une fougue renouvelée et, les lèvres scellées aux siennes, elle se hissa sur lui d’un mouvement souple du bassin et descendit sur son sexe dur. Paupières closes, elle savoura la décharge de plaisir déclenchée par leur étreinte.*
C’était cela, exactement cela qui lui avait tant manqué, et pendant si longtemps. Cet homme dans ses bras et la folie exquise de leur passion partagée.*
Accrochée à ses épaules, elle posa ses lèvres avides sur son menton et son cou, tout en continuant le va-et-vient impérieux de ses hanches, sans s’inquiéter de l’eau qui jaillissait de toutes parts. Seuls lui importaient leurs deux sexes emboîtés et le plaisir grandissant qui commandait ses mouvements. Leurs bouches se retrouvèrent encore, leurs langues enlacées en une danse sensuelle qui s’accordait au rythme effréné de leurs ébats.*
Elle n’était plus que chair incandescente et volupté.*
Graeme malaxait ses fesses de ses grandes mains avec une douce fermeté, les écartant et les resserrant en cadence, pour amplifier la profondeur de ses coups de reins.*Elle sentait son sexe la remplir comme jamais et le plaisir devint si intense qu’elle crut qu’elle n’allait pas pouvoir le supporter.*
–*Je t’ai déjà dit à quel point j’adorais tes fesses*? lui demanda-t–il en un murmure rauque.*
–*Pas dernièrement, répondit-elle à bout de souffle, à peine capable d’articuler les mots.*
–*Et à quel point j’aimais ça aussi*? fit-il encore, en glissant sa main entre leurs deux corps, pour fureter dans les replis de son sexe.*
Sa réponse incohérente se mua en un gémissement éperdu lorsqu’il pressa son clitoris enflé avec une précision diabolique et son sexe se contracta une dernière fois autour du membre de Graeme. Ballottée dans les remous de la jouissance, elle perdit toute capacité à penser rationnellement. L’orgasme déferla sur elle, imparable, violent, et elle cria sans retenue, entraînant Graeme dans une spirale de plaisir sans fin.*
Ils se bercèrent ensemble dans l’eau qui refroidissait, ébranlés par les spasmes qui secouaient leurs corps comme un radeau dans la tempête.*
Une dernière pensée traversa l’esprit de Lara, au milieu de ce naufrage des sens*: elle avait besoin de cet homme comme de l’air qu’elle respirait.*
Un week-end ne suffisait pas, loin s’en fallait.*
Un week-end n’avait jamais suffi.*
Elle voulait une vie entière, composée uniquement de week-ends semblables à celui-ci.

 
 

 

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